
Le placement de produits est une pratique courante au cinéma, qui doit d'ailleurs être considéré par les marketeurs comme un média à part entière. E.T., par exemple, mangeait des barres chocolatées dont le placement avait coûté 1 million de dollars à l’annonceur mais dont les ventes firent un bond de 65% à la sortie du film.

Ian Fleming citait dans ses romans des marques connues pour mieux définir son héros, ses adversaires et le monde dans lequel ils évoluaient, et les producteurs, conscients du bénéfice qu'ils pourraient en tirer, ont autorisé quelques fabricants à faire la promotion de leurs produits dans les films.
James Bond n'est pas une exception, le placement des produits est une pratique courante au cinéma. Aujourd'hui, la publicité dans le film, souvent mieux dissimulée, se révèle un très bon moyen pour les producteurs de réduire le budget des films en tant que source validée de revenus. Mais si la pratique est également répandue à la télévision américaine elle était jusqu'alors interdite en France.
James Bond n'est pas une exception, le placement des produits est une pratique courante au cinéma. Aujourd'hui, la publicité dans le film, souvent mieux dissimulée, se révèle un très bon moyen pour les producteurs de réduire le budget des films en tant que source validée de revenus. Mais si la pratique est également répandue à la télévision américaine elle était jusqu'alors interdite en France.

- Placement interdit dans les divertissements et la télé-réalité.
- Placement interdit pour les boissons comportant 1,2 degré d'alcool, le tabac, les médicaments, les armes à feu et munitions, les préparations pour nourrissons et les produits ou services du parrain d'une émission.
- Il doit être signalé par un pictogramme qui apparaît pendant une minute au début du programme et après chaque interruption publicitaire, puis pendant toute la durée du générique à la fin du programme. Si un produit a été placé dans un clip, ce pictogramme doit rester affiché pendant toute la durée de la vidéo.
Des restrictions qui risquent de ne contenter personne, selon Télérama: "Mais à trop vouloir ménager la chèvre économique et le chou artistique, sa délibération risque de ne contenter personne : les publicitaires regrettent que le sponsor d’une émission ne puisse placer ses produits dans le même programme ; les chaînes jugent la signalétique trop présente ; et de nombreux réalisateurs dénoncent « l’hypocrisie » d’une réforme qui, sur la télé publique, a fait sortir la pub par la porte pour la faire rentrer par la fenêtre du placement de produits."
Le placement de produit pourrait générer entre 40 et 60 millions d'euros de recettes complémentaires pour la filière audiovisuelle.
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